N'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (18.207.132.226) si quelqu'un porte plainte.
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Paris : Lorenzo, 4 ans, porté disparu dans la Seine Aline et Noël veulent espérer. Lorenzo, leur enfant, est tombé dans la Seine vendredi matin. Mais il sait nager. Aujourd'hui, ses parents lancent un appel à témoins.
port de Tolbiac (côté XIIIe), hier. Aline et Noël espèrent que le garçonnet s'est réfugié sur une rive ou que « quelqu'un l'a recueilli et va nous le ramener », explique sa maman. La famille transportait du sable en Belgique à bord de sa péniche lorsqu'elle a fait escale à Paris. | (LP/C.C.)
l aura suffi de quelques secondes d'inattention pour que le drame survienne. Hier en fin de matinée, Lorenzo, 4 ans, a échappé à la vigilance de ses parents qui s'activaient sur le pont de leur péniche de fret, amarrée depuis la veille au port de Tolbiac (côté XIIIe). Et le garçonnet a chuté dans la Seine. Ses parents ont donné l'alerte quelques instants plus tard, dès qu'ils se sont rendu compte de la disparition de l'enfant.
Malgré la mobilisation rapide d'importants moyens de secours, l'intervention des plongeurs des pompiers et de la brigade fluviale de la préfecture de police, hier soir, le bambin restait introuvable. « J'allais lui donner sa douche. Je me suis retournée quelques secondes et il avait disparu », explique Aline, sa maman, 30 ans.
Cette femme et son mari, bateliers professionnels depuis 1997, originaires de Vimpelles (77), transportaient une cargaison de sable jusqu'en Belgique. Comme d'habitude, leurs quatre enfants étaient du voyage. La disparition de Lorenzo, le plus jeune, les a plongés dans l'angoisse. « On vit un cauchemar et on se dit qu'on va se réveiller », lâchait Noël, hébété, le jeune papa.
« La brigade fluviale est arrivée tout de suite, commente-t-il. Ils ont tourné avec 3 ou 4 vedettes, ont plongé pendant quatre heures », note le papa. Leurs recherches sont restées vaines. Pourtant, hier soir, les parents de Lorenzo gardaient un espoir. « Notre petit garçon sait bien nager », soulignait sa mère en s'accrochant à l'idée que le petit ait pu se réfugier sur une rive sans être aperçu. « Ou peut-être que quelqu'un l'a recueilli et va nous le ramener », espérait encore Aline.
« La chute d'un enfant dans l'eau, c'est le risque numéro un du métier pour les mariniers qui travaillent en famille », explique Bruno Cossiaux, l'un des responsables de la Chambre nationale de la batellerie artisanale, qui compte un gros millier d'adhérents. « On déplore un décès tous les deux ou trois ans. La protection à 100% n'existe pas. Mais les bateliers sont sensibilisés. Ils apprennent à nager à leurs enfants dès le plus jeune âge. »
Hier, après les recherches, « les policiers de la brigade fluviale ont fait du porte à porte dans tous les bateaux amarrés », commente Bertrand, responsable d'une des péniches-restaurants du quai François-Mauriac. Dans la soirée, les policiers devaient poursuivre les recherches avec un sonar .
Les témoins peuvent contacter la brigade fluviale au 01.55.43.28.60.
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j'aimerais que tout mes contacte partage la photos CES MA COUSINE ON EST SANS NOUVEL D ELLE DEPUIS MARDI 28 AOUT SES PAS GRAND CHOSE QUE JE DEMANDE A MES CONTACTE MAIS DE LE FAIRE SA VOUS PREND DEUX SECONDE ET SA PEUT SAUVER UNE VIE NOUS SOMME TOUS INQUIET QUEL DONNE PAS DE NOUVEL AIDES NOUS
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André Gauchet, 54 ans, a quitté son domicile mercredi à 7h15 au volant de son Nissan Qashqai pour se rendre à son travail. Depuis, il n'a donné aucun signe de vie.
André Gauchet, 54 ans, domicilié à Lézigneux, a quitté son domicile le mercredi 29 août à 7h15 pour se rendre à son travail, à l'entreprise TechniModern à Saint-Germain-Laval, à bord de sa voiture, une Nissan Qashqai, immatriculé AA 113 CJ, de couleur noire. Il n'a pas rejoint son lieu travail. Depuis, aucun signe de vie.
Toutes les personnes l'ayant aperçu, sont priées d'appeler la gendarmerie de Montbrison au 04.77.58.12.88.
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Rhône. Appel à témoins : qui connaît ce jeune homme ?
Ce jeune homme d'environ 21 ans est à l'hôpital psychiatrique du Vinatier à Bron depuis le 13 août. Amnésique, il ne se souvient pas de son identité et ne peut donner aucune information sur lui-même. Et depuis cette date, personne n'a signalé sa disparition.
Il avait été retrouvé par la police de Bron à Chassieu, rue du Progrès, le dimanche 12 août à 4 heures du matin, torse nu, extrêmement sale et avec une petite plaie sur la tête. Le jour même, il avait été emmené à l'hôpital Edouard-Herriot d'où il s'était échappé, avant d'être admis au Vinatier le lendemain. Il mesure environ 1,85 mètre pour 62 kg. Il a les cheveux bruns, courts, les yeux marron, et ne porte ni piercing ni tatouage.
Toute personne qui pourrait identifier ou donner des renseignements sur ce jeune homme, ou qui connaîtrait sa famille, peut prendre contact avec le commissariat de Bron au 04 72 14 97 40 (demander le groupe BSU)
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Disparition du petit Antoine : la piscine d'Issoire sur la sellette
Puy-de-Dôme. Le corps du petit garçon, disparu depuis le 11 septembre 2008, se trouve-t-il enfoui dans les fondations de la piscine ?
Au lendemain de l'arrestation de la mère du petit Antoine, Alexandrine Brugerolle de Fraissinette, et de son compagnon, dans le cadre d'une affaire de meurtre à Marseille (lire notre édition d'hier), un article du Parisien suscite des remous. Le quotidien national évoque la possibilité que le corps du petit garçon a été enterré dans les fondations de la piscine municipale d'Issoire. À l'époque de la disparition de l'enfant, le 11 septembre 2008, le chantier du centre nautique issoirien était en cours et on coulait le béton. En octobre 2010, les gendarmes de la cellule Disparition 63, en charge de l'enquête, recueillent, par deux sources distinctes, l'information selon laquelle le compagnon de la mère de l'enfant, Sébastien Ribière, avait des « connaissances » sur le chantier du centre nautique d'Issoire, dont la construction est alors tout juste achevée. Contacté hier par nos soins, le juge d'instruction en charge de l'affaire, Jean-Chistophe Riboulet, a contesté auprès de nos confrères de La Montagne, avoir tenu les propos publiés dans Le Parisien. Le magistrat a souligné que cette piste est « une non-information ». Il a précisé que « des recherches ont eu lieu en 2009, mais pas des fouilles, car il aurait alors fallu casser la piscine... Ce qui n'était pas nécessaire sans éléments probants ». Nous avons aussi sollicité la gendarmerie. Sans succès : « Voyez plutôt le parquet de Marseille ». Tout au plus, précise-t-on que « ce ne sont pas deux, mais les trois enquêteurs de la cellule Disparition 63, qui se sont rendus dans le Midi ». À l'état-major de la légion d'Auvergne de gendarmerie, « on suppose qu'ils ont rencontré la mère en qualité d'observateurs ». Les trois gendarmes étaient d'ailleurs sur la route du retour, hier en fin d'après-midi, mais impossible de savoir si leur déplacement a été fructueux pour ce dossier de disparition d'enfant toujours inexpliqué.
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Une jeune fille de 19 ans, originaire de la région parisienne, domiciliée à Yssingeaux et scolarisé au lycée agricole, est activement recherchée par la gendarmerie.
L'alerte a été donnée aux gendarmes par sa mère, lundi soir. Les militaires ont procédé depuis à de multiples auditions qui se poursuivent encore aujourd'hui. Bertrand Depierre, commandant de la compagnie d'Yssingeaux présente cette disparition comme "très inquiétante". Elle aurait disparu avec son chien qui n'a pas été retrouvé à son domicile d'Yssingeaux.
C'est le proviseur du lycée agricole d'Yssingeaux qui a averti sa maman. La jeune fille, demi-pensionnaire, en deuxième année de BEP, était absente ce lundi matin à l'appel. Depuis, elle est injoignable.
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AVIS DE RECHERCHE 06 : Une amie nommée Marie-Cécile Sicard a disparu depuis 48h, sa voiture a été retrouvée sur le Col de Vence. La Gendarmerie est à sa recherche, merci de contacter la Gendarmerie si vous avez n'importe quel renseignement la concernant et de bien vouloir diffuser sa photo à tous vos contacts. D'avance merci !(N° tel et photo ci-joints)
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le 08/02/2012 Justice. L'affaire Estelle Mouzin rebondit à Besançon
La police recherche le propriétaire d'une valise découverte à Besançon et contenant des notes sur l'affaire Estelle Mouzin, disparue en janvier 2003 en Seine-et-Marne.
«Une valise contenant des éléments en lien avec l'affaire Estelle Mouzin a été découverte vendredi dans une chambre d'hôtel et remise lundi à la police judiciaire de Besançon», a indiqué le procureur de Besançon Alain Saffar. La valise contenait uniquement des notes manuscrites, reprenant la chronologie de l'affaire et des éléments déjà parus dans la presse. Elle a été retrouvée avec d'autres affaires, notamment des sex-toys, dans une chambre très désordonnée. L'occupant de la chambre est un militaire âgé de 19 ans né dans l'Eure-et-Loir, qui a déserté son unité de Valdahon (Doubs) mi-janvier. Il a quitté l'hôtel il y a environ quinze jours. Les enquêteurs cherchent à le localiser. La valise peut appartenir à un de ses proches plus âgé mais le militaire, qui avait 10 ans à l'époque des faits, peut aussi s'être intéressé à l'affaire sans y être lié. L'enquête suit des pistes multiples. Estelle, alors âgée de 9 ans, a disparu le 9 janvier 2003 à Guermantes (Seine-et-Marne). Début janvier, l'avocat de la famille, Me Didier Seban, a demandé, sans succès, le dessaisissement du tribunal de Meaux. Il a aussi demandé «une enquête par le président de la chambre de l'instruction sur les conditions dans lesquelles cette enquête est menée par le juge d'instruction à Meaux». En mai 2010, Me Seban avait demandé à la justice d'expertiser de nombreux scellés provenant du dossier du tueur en série Michel Fourniret, condamné en mai 2008 à perpétuité pour sept meurtres de jeunes filles entre 1987 et 2001. Les résultats des analyses ne sont pas encore connus
le 09/02/2012 Disparition d'Estelle Mouzin : l'homme interpellé à Besançon mis hors de cause
L'homme recherché par la police après la découverte à Besançon d'une valise contenant des notes manuscrites sur la disparition en 2003 d'Estelle Mouzin, a été mis hors de cause. Il a déclaré avoir simplement pris des notes en regardant une émission sur la jeune fille disparue
Un militaire déserteur de 19 ans a été interpellé par la police judiciaire de Besançon, jeudi en milieu de journée, dans l'hôtel de Besançon où il avait abandonné la valise. Il a été reconnu par le personnel alors qu'il revenait prendre une chambre dans l'établissement. Il avait quitté l'hôtel il y a environ quinze jours.
Lors de son audition, le jeune homme a indiqué avoir pris des notes en regardant une émission sur Estelle Mouzin, disparue le 9 janvier 2003 à Guermantes (Seine-et-Marne) à l'âge de 9 ans.
Il a déclaré avoir été frappé cette histoire et avoir consulté un blog pour en savoir plus.
L'individu, né dans l'Eure-et-Loir, était âgé de seulement 10 ans au moment des faits.
Rien ne va être retenu contre lui dans l'enquête. En revanche, le militaire, qui n'avait pas rejoint son unité à Valdahon (Doubs) mi-janvier, va être remis à la gendarmerie pour désertion.
Depuis la disparition de la petite fille, l'enquête a suivi des pistes multiples, sans résultat pour l'instant.
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